STARGATE ATLANTIS : LE PROJET ATINIANS
TOME 2
LE COMBAT D'UN AUTRE MONDE
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Chapitre 1
Sans Nouvelles
Générique d'ouverture
Durant les sept ans qu’il avait passé sur le terrain, il lui était arrivé de nombreuse fois où il était resté sans contacte de ses amis. L’espoir avait toujours été une arme lui permettant de continuer à vivre. Malheureusement il était usé de tout ceci, le temps l’avait fatiguée et l’espoir n’était plus d’une grande aide aujourd’hui. Cependant s’était la seule chose qui lui restait. Quand Daniel avait effectué l’ascension, Jack avait gardé espoir. Quand Daniel ou Sam avait été capturé par les Réplicateurs il avait de nouveau gardé espoir. Mais aujourd’hui les forces et la patience commençaient à lui manquer pour garder espoir.
Vingt-quatre heures avaient passé depuis qu’Atlantis avait pris son envol vers une destination inconnue. Vingt-quatre heures où il n’y avait eu aucune explication au départ de la cité, vingt-quatre heures où Jack n’avait eu aucune nouvelle des membres d’Atlantis et de ses amis.
Dans l’attente insupportable où la patience commençait à lui faire défaut, O’Neill passait le plus clair de son temps à faire les cent pas, en long et en large dans son bureau au Pentagone. Durant ce temps le général Landry avait quitté son bureau du SGC pour venir faire une visite son ami Jack. Il frappa trois petits coups à la porte du bureau et attendu que lui propriétaire l’autorise à rentrer.
-Bonjour Jack !
-Général Landry, répondu O’Neill. Que me vaut ce plaisir ?
-Je suis en personne voir si vous avez des nouvelles d’Atlantis et de SG-1.
-J’en ai aucune, répondu Jack. Dès que la cité a fait son entré dans l’hyperespace nous avons perdu toute trace. À l’aide des détecteurs intersidéraux de l’Odyssée nous avons tenté de les repérer mais rien. Soit ils sont partis trop loin, soit ce qui a causé le départ de la cité brouille tout signal.
-Oh. Je tombe à pic alors. J’ai peut-être une solution pour toi.
-Lequel ?
-Partons sur le Terrain. Tu verras par toi-même.
-Pour aller où ?
-Avant que Atlantis ne quitte la Terre, Woolsey m’a envoyé un rapport d’une mission ou SG-1 se rendait sur la cité de l’alliance des quatre races. Pour faire cours si on allait rejoindre l’équipe SG-1 sur cette cité je crois qu’elle s’appelle Atéos. On aurait peut-être un moyen de retrouver la cité d’Atlantis. Dans le rapport se trouve les coordonnées, ainsi, grâce à la porte des étoiles du SGC on pourra certainement rejoindre SG-1 ce qui augmenterait nos chances remettre la main sur Atlantis.
-C’est un début, répondit Jack qui appuya ensuite sur son oreillette : Odyssée, téléporté moi et le général Landry au plus vite au SGC, ordonna-t-il ensuite.
Une vif lumière blanche avait entouré rapidement O’Neill et Landry, les aveuglants et les désorientant totalement, les murs du Pentagone avaient disparu et avaient fait place aux murs grisâtre du SGC. Tous les deux venaient d’être téléportés dans le bureau du Général Landry.
-Ah monsieur ! Enfin de retour au bercail, s’exclama Walter en entrant dans le bureau du général. Je viens vous informer que le Major Lettman est arrivé à la base et qu’elle vous attendant dans la salle de débriefing.
-Merci Walter. O’Neill vous venez avec moi, vous allez adorer cette rencontre.
Puis tous les deux s’étaient rendus dans la pièce qui se trouvait juste à côté du bureau du général. Cette pièce avait une grande fenêtre qui donnait une vue imprenable sur la porte des étoiles du SGC. Jack qui était resté légèrement resté en retrait regardait son ami ce dirigé vers cette toute nouvelle recrue. Une magnifique militaire, cheveux blond, yeux bleues, vingt-huit ans, le courage et la hâte d’aller sur le terrain comme aura.
-Major Lettman, bienvenue au SGC.
-Général Landry, dit-elle en faisant un signe de garde à vous.
-Repos Major. Je vous présente le…
-Général Jack O’Neill, ancien membre de SG-1.
-Je vois que vous connaissez vos classiques, s’exclama le Général O’Neill avec ironie.
-Merci mon général.
Soudainement une alarme avait retenti dans tout le SGC, accompagné d’un message vocal que Jack connaissait très bien : « Activation de la porte des étoiles, non programmé ». O’Neill, Landry et le major Lettman étaient tous les trois descendus dans la salle de contrôle qui se trouvait juste en bas. Arrivé sur place Landry avait ordonné de fermer l’Iris alors que cet instant rappelait à Jack de nombreux souvenir qu’il avait dans cette base.
-Walter ?
-Nous recevons un signal audio-visuel.
-Sur l’écran s’il vous plait.
Des interférences s’étaient affichées puis l’interface avait soudainement changé en affichant un visage que personne ne connaissait, cependant il rappelait une ancienne connaissance que le général O’Neill avait eu l’honneur de côtoyer.
-Pourrais-je parlé à Jack O’Neill, demanda l’homme de la vidéo.
-Qui Êtes-vous ? Demanda Hank.
-Je me nomme Airbéra. Membre suprême du conseil Nox.
-Ici le général Jack O’Neill, que puis-je pour vous ?
-Nous requérons votre aide.
-Pour quels raisons ? Demanda Jack.
-Je ne peux pas malheureusement vous en dire plus. Pour que vous compreniez pourquoi il faut que vous veniez. Je m’excuse de devoir vous presser, mais c’est urgent, rajouta le conseillé Nox qui semblait inquiet.
Durant un instant Landry et Jack se regardèrent comme-ci tous les deux communiquaient par la pensé, puis Jack prit la parole à nouveau :
-Très bien. Laissez-nous une heure.
Airbéra acquiesça d’un signe de la tête et conclus par :
-Je vous attendrais à la porte.
Le vortex de la porte des étoiles, se coupa et l’iris s’ouvrit. Durant une minute chacun semblait se repasser l’évènement dans sa tête, puis O’Neill se tourna vers le major Lettman, fit un léger sourire et pris la parole :
-Vous seriez tenté de rencontrer les Noxs major ?
-Vous plaisantez ?
-Je suis sérieux, répondu Jack. Landry vous engage.
D’une part de son métier et d’une autre de son grade, le sergent Lettman ne pouvait pas malheureusement sauter de joua devant deux généraux, mais un sourire bien marqué avait pris sur son visage. Elle avait tant espéré de pouvoir un jour travailler au SGC. Et faire ses début au côté du grand Jack O’Neill ancien membre de SG-1 était pour elle plus qu’un honneur.
-Aller vous changer major, ordonna Jack.
-Oui mon général.
-Général Landry, dite à SG-3 de se préparer, ils viennent avec nous.
Pour O’Neill le plan de départ ne se déroulait pas comme prévus, il était dans l’obligation de devoir attendre avant d’aller sur la cité des quatre. Atéos allais devoir attendre encore un peu. Il ne pouvait pas malheureusement passé à côté de l’appel à l’aide d’un des hauts membres du conseil Noxs. A y penser, il aurait aussi aimé que le haut conseil Asgard leur demande leurs aides avant d’organiser un suicide collectif. Suicide ou plutôt un génocide, s’était la définition que Jack donnais a cette pratique. Tout ceci le confrontait encore plus au fait qu’il était sans nouvelle de ses amis.
La personne qui lui manquait le plus était Samantha. Une femme qu’il avait appris à aimer et qui l’avait aidé à surmonter le chagrin qu’il avait en lui depuis que son fils s’était accidentellement tiré dessus, se donnant la mort avec l’arme de son père. Un drame auquel Jack avait mis beaucoup de ce temps à se remettre. Un drame qu’il emporterait dans une tombe, mais un drame que Samantha avait réussi à soigner. Sam, cette femme qu’il aimait plus que tout aujourd’hui, et pour qui rien au monde il ne voudrait perdre. Et cette séparation de million d’année de lumière et sans nouvelle, le rendrais triste.
* * *
Durant ce temps, sur Altana, la cité d’Atlantis terrer dans un gigantesque hangar subissait toujours les nombreuses réparations qui lui était nécessaire, tandis que Woolsey, Rodney, et les autres attendant tranquillement dans la salle d’embarquement. Ils avaient l’impression qu’un essaim d’abeille se promenaient dans toute la cité, ses petits drones de réparation faisaient un bourdonnement monstre et effrayant en même temps. Le programme Janus n’avait pas fait de nouvelles réapparitions, laissant tout le monde dans un avenir incertain.
Pendant ce temps, à mille lieux d’ici, sur la grande cité des quatre, ils étaient tous abasourdi par les révélations de Janus, mais ils n’étaient pas sûrs de comprendre ce que cela voulait dire.
-Aurons-nous des explications ? Demanda Daniel.
-Oui, mais pas maintenant.
-Quand ?
-Quand le temps nous sera plus compté.
-Qu’est-ce que vous voulez dire ? S’exclama Samantha.
-Vous en serez plus quand elle sera là.
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Chapitre 2 à venir prochainement ...
